Mardi soir, l’Île-de-France a connu une situation de trafic exceptionnelle. Plus de 450 km de bouchons ont été enregistrés, un chiffre qui dépasse largement la moyenne habituelle. Cette congestion sans précédent a touché l’ensemble de la région, paralysant les routes et autoroutes. Quelles sont les causes de ce phénomène ? Comment les automobilistes ont-ils géré cette situation ? Nous vous proposons de découvrir dans cet article une analyse détaillée de cet événement hors du commun qui a marqué l’actualité francilienne. Restez avec nous pour comprendre les raisons de ces embouteillages monstres et leurs conséquences sur la vie quotidienne des Franciliens.
Embouteillages records en Île-de-France ce mardi
Le mardi 21 mai a été marqué par une situation de trafic hors norme en Île-de-France. Selon le baromètre Sytadin, les embouteillages ont largement dépassé la moyenne habituelle de 300 km cumulés à certaines heures de la journée. En effet, vers 18 heures, le cumul des bouchons a atteint plus de 450 kilomètres sur les axes franciliens. Cette congestion exceptionnelle du trafic a contraint de nombreux Franciliens à utiliser leur véhicule personnel, notamment en raison d’une grève des agents SNCF affectant les lignes de RER et de Transiliens.
Une congestion inhabituelle tout au long de la journée
Dès l’aube, le trafic a montré des signes d’engorgement exceptionnel avec plus de 450 km de bouchons enregistrés entre 8 heures et 9 heures. Une situation qui n’a fait qu’empirer tout au long de la journée, le niveau de congestion oscillant constamment entre « inhabituel » et « exceptionnel ». Cette anomalie dans le flux routier est principalement due à une grève des agents SNCF, forçant de nombreux usagers à se tourner vers leur véhicule personnel. Le baromètre Sytadin a ainsi relevé un cumul de bouchons largement supérieur à la moyenne habituelle de 300 km.
Impact de la grève SNCF sur le trafic routier
La grève des agents SNCF a eu un effet domino sur le trafic routier. En effet, face à l’indisponibilité des services de RER et de Transiliens, de nombreux Franciliens ont dû se résoudre à utiliser leur voiture personnelle ce mardi. Par exemple, sur la ligne de RER C, seulement deux trains par heure étaient en service et certaines gares n’ont pas été desservies, exacerbant ainsi la congestion routière. Cette situation exceptionnelle a entraîné une augmentation significative des embouteillages, avec un cumul dépassant les 450 km, bien au-delà de la moyenne habituelle de 300 km.
Le Grand Paris est un site indépendant d'actualités et d'informations. Soutenez la rédaction en nous ajoutant dans vos favoris sur Google Actualités.