Lundi matin, l’Île-de-France a connu une situation de trafic particulièrement difficile. Avec plus de 460 kilomètres de bouchons signalés, les automobilistes ont dû faire preuve de patience et d’endurance. Dans cet article, nous allons explorer les causes de cette congestion exceptionnelle, les zones les plus touchées et les conséquences pour les usagers. Nous aborderons également les solutions envisagées pour améliorer la fluidité du trafic dans cette région densément peuplée. Restez avec nous pour comprendre pourquoi ce lundi matin a été si difficile pour les franciliens sur la route.
Embouteillages record en Île-de-France un lundi matin
Lundi 9 septembre, la région Île-de-France a connu une congestion routière exceptionnelle. Selon les données de Sytadin, le cumul des embouteillages atteignait plus de 430 kilomètres peu après 8h30. Une heure plus tard, ce chiffre grimpait à 460 kilomètres. Les principales autoroutes et le périphérique étaient particulièrement touchés, avec également des ralentissements notables sur la N118 en direction de Paris. Quelques accidents et deux pannes ont été signalés, contribuant à l’aggravation de la situation.
Les points noirs de la circulation
Le périphérique et les autoroutes majeures, notamment l’A1, l’A86, l’A6a et l’A6b, ont été particulièrement affectés par cette congestion. La N118 en direction de Paris n’a pas été épargnée non plus, avec des ralentissements significatifs. L’embouteillage a été exacerbé par quelques incidents routiers et deux pannes de véhicules. Ces facteurs ont contribué à l’augmentation du nombre de kilomètres de bouchons, passant de 430 km peu après 8h30 à 460 km à 9h, selon Sytadin.
Retour des vacances d’été et prévisions de Bison Futé
La fin des vacances d’été a vu les Franciliens reprendre massivement la route, provoquant une hausse significative du trafic. Dimanche 8 septembre au soir, Bison Futé avait anticipé cette situation en classant l’Île-de-France en orange pour les retours. À 18 heures, le cumul des embouteillages atteignait déjà près de 230 kilomètres. Cette tendance s’est confirmée le lendemain avec un pic de congestion enregistré à plus de 430 kilomètres aux alentours de 8h40, selon Sytadin.
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